Merci de patientier...

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Merci de patientier

Description

Titre(s)
Vu du pont
Je me souviens de deux lundis
Auteur(s)
Arthur Miller (Auteur)Marcel Aymé (Adaptateur)Maurice Pons (Traducteur)
Collation
1 vol. (299 p.) ; 19 cm
Collection(s)
Pavillons poche
Année
2015
Sujet(s)
theâtre
Livres et Vidéos
Littérature anglophone d''Amérique du Nord
Identifiant
2-221-11492-2
Langue(s)
français
Notes
Romancier, nouvelliste, traducteur
Résumé
Vu du pont : Depuis la mort de sa mère, Catherine vit chez son oncle et sa tante, Eddie et Béatrice Carbone, à Brooklyn, non loin du pont. Elle va sur ses dix-huit ans, se coiffe les cheveux différemment, porte des jupes de plus en plus courtes et elle ne marche pas, elle ondule. Autant dire qu'elle n'est plus une petite fille. Eddie s'en est rendu compte. Et cela le perturbe, à bien des égards. Mais comment faire alors qu'elle se promène dans la maison en combinaison, qu'elle s'assoit sur le bord de la baignoire à bavarder pendant qu'il se rase, en caleçon, qu'elle lui saute au cou quand il rentre comme quand elle avait douze ans ? Et, surtout, il ne supporte pas que des hommes lui tournent autour. Lorsque le cousin sicilien, Rodolpho, débarque illégalement en Amérique avec son frère Marco, qu'il s'installe chez lui, et se met à flirter avec Catherine, il a l'impression qu'il la lui vole et éprouve de plus en plus de mal à contenir sa colère. Comme Eddie, Rodolpho est débardeur sur les docks. Les collègues se moquent de lui et l'ont surnommé d'abord la "cocotte en papier", le "canari", puis le "blondinet". A la grande consternation d'Eddie, il chante, il coud, il cuisine. Son désir d'épouser Catherine est-il sincère ? Cette dernière l'aime et est convaincue que la réciproque est vraie. Eddie n'a pas du tout confiance en lui et, petit à petit, dans la maison près du pont, la tension monte. Avec une efficacité féroce, Arthur Miller met en scène la désillusion tragique d'un homme ordinaire qui n'avait jamais soupçonné qu'il eût un destin. Une pièce brûlante sur l'obsession, la culpabilité et la trahison. Je me souviens de deux lundis : Cette pièce compte parmi les plus autobiographiques d'Arthur Miller. Elle met en scène Bert, le double du dramaturge quand il avait dix-huit ans, au début des années 1930. Bert travaille dans un entrepôt d'accessoires automobiles pour payer son inscription à l'université. Il partage son quotidien avec de nombreux collègues qui essaient tous, comme lui, de s'en sortir d'une façon ou d'une autre. A la différence qu'eux, travailleront dans cet entrepôt toute leur vie. Lorsqu'il s'en va enfin, Bert laisse derrière lui un souvenir qu'il sait éphémère. Cette pièce croque avec cynisme la vie quotidienne du New York des années 1930, c'est aussi une formidable réflexion philosophique sur les relations humaines et sur les choix importants que l'on prend ou pas, dans la vie.
Liens internet
http://static.fnac-static.com/multimedia/Images/FR/NR/40/b7/6d/7190336/1507-1/tsp20150903114934/Vu-du-pont.jpg
Prix
9 EUR
Editeur(s)
Robert Laffont
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Auteur principal : Arthur Miller

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